top of page

Menace de guerre mondiale : la faillite de l'ONU


Source : wikipédia


Les médias parlent de plus en plus d’une guerre dans les 2 ans qui viennent entre les États-Unis et la Chine, qui dégénérerait en 3ème guerre mondiale . Ce serait la faillite de l’ONU, dont la mission, après la boucherie de la 2ème guerre mondiale était justement d’établir la paix et la prospérité dans le monde entier. Sans l’excuse aujourd’hui d’une guerre froide avec la Russie soviétique, puisque l’URSS a disparu en 1992, après la chute du mur de Berlin.


De la même manière que la Société des Nations (SDN), créée au lendemain de 1ère guerre mondiale, avait failli dans sa mission d’établir dans le monde la paix et la prospérité. Le slogan, à l’époque, c’était : « Plus jamais ça ! ».


Nous sommes donc revenus à la même question qui se posait à la fin de la 2ème guerre mondiale : « Plus jamais ça ! ».


Tout est donc à refaire, en essayant de ne pas recommencer les mêmes erreurs.


Pour cela, il est nécessaire d’identifier les causes de cette faillite de l’ONU. Elles sont de 6 ordres :


  • Le suprématisme des États-Unis voulant imposer leur prééminence sur le monde entier, d’abord par la guerre commerciale, mais aussi par l’interventionnisme militaire : Vietnam, Irak, Libye, Afghanistan, etc,,, Le budget militaire américaine est supérieur au budget militaire de l’ensemble des pays du monde.

  • L’intervention de la religion radicale dans l’espace politique : islam (djihad islamique, Etats islamiques), judaïsme (Israël), sectes religieuses de toutes sortes.

  • Les dictatures essentiellement militaires dans de nombreux pays.

  • Les dictatures en Russie et en Chine.

  • Les nationalismes mortifères, conduisant à des guerres, y compris fratricides, comme entre ukrainiens et russes.

  • Le gaspillage des ressources de la planète (comme l’eau), le réchauffement climatique, la disparition des espèces, la dégradation de l’environnement.


Il faut donc créer une nouvelle organisation internationale, succédant à l’ONU et ses avatars (OMS pour la santé, OMC pour le commerce, UNESCO pour les arts, Banque Mondiale pour la finance), dont le principal objectif serait d’éviter une 3ème guerre mondiale, mais, pour cela, ramener la paix là où existent des conflits, qu’ils soient entre États ou à l’intérieur des États. Sa mission ensuite serait de développer la prospérité dans le monde, qui ne peut se faire que pour l’ensemble de la population mondiale, et pas seulement les plus riches.


Le combat à mener pour permettre le développement de la paix et de la prospérité dans le monde est celui du progrès en tout genre, social, scientifique, économique, c’est-à-dire le brave progressisme du 19ème siècle.


Malgré des progrès indéniables depuis un siècle, qui ont permis l’allongement de la durée de vie, l’amélioration des conditions sanitaires, le recul de la faim dans le monde, ce surgissement de guerres mondiales nécessite de trouver des institutions internationales d’un nouveau genre que l’ONU. En s’appuyant sur l’essor scientifique : avancées médicales, conquête spatiale, intelligence artificielle, etc.


De plus, des reculs sont constatés dans de nombreux domaines : systèmes de santé défaillants, recul de l’instruction dans beaucoup de pays, resurgissement de la faim dans le monde, protection sociale menacée, etc.


Dans certains pays, des progrès sont enregistrés, par l’acceptation de fonctionner comme un atelier du monde : d’abord la Chine, mais aussi le Bangladesh, l’Éthiopie, le Vietnam. Ce n’est pas la bonne solution.


Une des solutions à proposer pour cette nouvelle organisation mondiale, serait de favoriser la libre circulation des personnes et des biens dans le monde entier, et de s’orienter pour cela vers l’abandon des frontières.


Une autre piste de réflexion serait de réguler la production et la finance, pour que les bénéfices de cette production soient orientés vers la satisfaction des besoins de la majorité de la population, c’est-à-dire les travailleurs. De donner à la valeur travail une priorité qui serait ainsi acceptée par la majorité de la population.


Une solution combinant les avantages respectifs du socialisme et du capitalisme, sans leurs inconvénients . Il s’agira d’allier l’efficacité économique du capitalisme avec la régulation au service des travailleurs du socialisme.


Et de mettre à bas la volonté hégémonique des grandes puissance, en priorité celle des États-Unis d’Amérique.

14 vues0 commentaire
Post: Blog2_Post
bottom of page